Cette semaine débute avec trois nichées. D’abord le Milan noir, que l’on devine en train de couver dans le nid en agrandissant l’image.
Puis l’Etourneau sansonnet, qui vient livrer à domicile avec des chenilles et autres insectes dans le bec. En quelques jours, l’unique a pris suffisamment de forces pour grimper jusqu’à l’ouverture et réclamer le prochain repas.
Enfin, la Corneille noire, presqu’à la cime d’un arbre. De fortes averses et un bon coup de vent n’ont pas fait renoncer à couver.
Voici un oiseau que l’on entend souvent mais que l’on voit peu : le Coucou gris. Unique photo, prise de loin.
Le Pouillot de Bonelli, qui fréquente la source depuis quelques jours, est revenu en début de semaine mais n’est plus apparu ensuite. Migrateur, il revient d’Afrique en avril pour aller en montagne entre 1000 et 1500m, dans les forêts de conifères.
Un autre migrateur a fait sa première apparition à la lisière des nois : le Gobemouche gris.
Celui-ci est considéré comme sédentaire, pourtant je ne le vois que très rarement, le Bruant zizi – ainsi nommé à cause de son chant. C’est un mâle en plumage nuptial.
Une femelle de Serin cini.
La Mésange bleue est tellement répandue que je ne la photographie presque plus, sauf quand elle se montre dans des conditions photogéniques.
C’est un peu le même cas avec le Pinson des arbres, ici une femelle.
La Fauvette à tête noire a toujours une allure sympathique, que ce soit le mâle – calotte noire – ou la femelle – calotte rouille.
Le Chardonneret élégant porte bien son nom.
La Bergeronnette grise fréquente aussi bien les prairies que les abords des cours d’eau. Pourtant le tumulte du torrent semble faire hésiter celle-ci.
Quelques oiseaux lacustres, les Harles bièvres. Le mâle a la tête vert sombre et celle de la femelle est brune.
Je sais que j’ai réussi une approche quand les oiseaux sont suffisamment détendus pour se rendormir, ce qui est le cas de ces deux Canrds colvert.
Et lorsqu’un Merle noir s’approche, comme celui-ci, c’est que mon camouflage et mon immobilité sont efficaces.
Cette publication est refermée par Firmin, gardien de mon portail, qui a repris ses fonctions avec la montée des températures. En réalité, je ne peux affirmer que ce soit le même lézard que l’année dernière mais on peut réver un peu.





















































































































































































































































































































































































































































































































