Ouverture sur un papillon à la couleur soutenue : l’Azuré de la Faucille ou Cupido argiades. Pourquoi les jolis noms latins n’ont-ils pas été repris dans la dénomination française ?

Ces derniers temps, j’ai présenté un certain nombre de photos d’oiseaux en migration. C’est un phénomème qui touche aussi d’autres animaux, à une autre échelle. Après quelques jours de chaleur, ce sont des abeilles qui se préparent à partir vers une autre résidence.


Il y a, naturellement, encore des rapaces qui migrent, comme ce Faucon crécerelle, qui partage quelques instants le ciel avec un Milan noir.


Les Milans noirs estivants de Lugrin sont visibles dans leurs nids pendant quelques jours encore, tant que les arbres sont dépourvus de feuilles. Il y a deux nids, tous deux dans des châtaigniers. Le premier est visible d’en dessous, on ne voit donc que la tête de l’oiseau qui couve. Le deuxième nid est visible par en dessus car il se situe en contrebas d’une route. Les objets clairs que l’on voit sur le côté de l’oiseau sont des morceaux de plastique, censés embellir le nid …





En passant, qui couve, le mâle ou la femelle ou les deux à tour de rôle ?
Dans le premier nid, je sais que la femelle était en train de couver, avant de partir se dégourdir les ailes puis de s’accoupler avec le mâle (première photo).



Les Hirondelles rustiques sont bien revenues à Lugrin depuis quelques jours. Elles sont maintenant occupées à préparer les nids, collectant des brins d’herbes et de petites brindilles.

Pas de nids de Grand cormoran visibles à proximité de chez moi – il y en aura dans la prochaine publication – mais les oiseaux viennent souvent pêcher à portée d’objectif. Les Grands cormorans sont en ce moment en plumage nuptial avec une crête noire à la punk, la nuque et les hanches marquées de blanc.


Allez, encore deux couples pour compléter le carnet d’état civil, le Canard colvert …




… et le Harle bièvre.




Il reste encore deux oiseaux aquatiques à présenter, le Goéland leucophée, spécimen immature …

… et le Héron cendré.

C’est maintenant le tour des oiseaux « terrestres », en commençant par une femelle de Rougequeue noir …

… que l’on retrouve parmi les oiseaux fréquentant la source.






Quelques photos de Fauvette à tête noire …




… et un oiseau peu fréquent, que je vois une ou deux fois par an seulement : un Pipit des arbres.

Deux photos de Mésange charbonnière. La vitesse des mouvements est toujours surprenante : la deuxième photo a été déclenchée au 1/400è de seconde.


On parle beaucoup ces jours-ci de l’intelligence artificielle. En photo, elle peut notamment servir à améliorer la netteté des images, voire à générer des images. Mais, il y a beaucoup plus simple. Inversez les photos et vous pourrez illustrer une pub pour un démêlant à cheveux !





























































































































