2023-09-10

Cette belle grosse abeille noire aux reflets mauves est un Xyolocope. Son nom est lié au bois qu’elle découpe pour fabriquer les cellules où elle déposera sa ponte.

Je regrettais la semaine précédente de ne pouvoir montrer le Silène ailes ouvertes. C’est presque chose faite.

Deux autres papillons, dont l’un aux ailes bien fatiguées.

Le Pigeon ramier est facilement identifiable à son col blanc de part et d’autre du cou, sauf pour le jeune de l’année dont le cou est uniforme. Deux adultes sont allés boire, accompagnés d’un jeune qui n’avait pas l’air rassuré devant autant d’eau et un accès plutôt raide.

Dans le même espace derrière la jetée de rochers, une femelle de Nette rousse est passée …

… tandis qu’un Goéland leucophée se perchait sur un des signaux d’entrée de port …

… et qu’une Mouette rieuse se perchait sur l’autre signal.

Toujours sur la rive du lac, un mâle de Rougequeue noir chasse les insectes entre les rochers.

Les Gobemouches sont encore de passage, dont les Gobemouche gris à la tête rayée …

… et les Gobemouches noirs aux ailes noires et blanches.

Le Grimpereau est non seulement difficile à photographier – il se déplace vite et souvent à l’ombre – mais il est aussi difficile à identifier entre celui des bois et celui des jardins. La distinction n’a rien à voir avec les lieux qu’il fréquente, c’est une histoire de longueur de l’ongle postérieur et de la forme des « marches » sur les motifs des ailes.

Lui aussi est discret dans ses déplacements car il court dans les fourrés la plupart du temps et qu’il vit dans un terrier creusé dans la terre : le Troglodyte mignon.