2024-12-08

Le vent qui soulève des embruns sur le lac n’a pas favorisé la présence d’oiseaux lors de mon passage sur les rives. Seul deux Cygnes tuberculés ont bravé le mauvais temps.

Loin des rives, le vent était moins soutenu et quelques oiseaux ont été visibles, bien qu’un peu trop éloignés à mon goût.
Un Pinson des arbres …

… une Grive draine …

… un Merle noir, mâle de 1er hiver – ce qui explique l’absence de cercle oculaire jaune et le bec noir …

… une Corneille noire …

… et un Geai des chênes.

Quelques autres oiseaux ont circulé suffisamment longtemps pour que je les prenne sous différents angles.
Un Grimpereau …

…une Sittelle torchepot …

… quelques Pics épeiches …

… et deux Buses variables.

Alors que j’attendais quelques passages de passereaux, un mouvement a attiré mon regard : voilà un Ecureuil roux bien éveillé et agile, qui est allé se cacher dans une touffe de lierre.

2024-02-04

Ces derniers jours de janvier et premiers jours de février ont été pauvres en observations, peut-être à cause d’une grisaille persistante en dessous de 800m.
Voici le seul oiseau lacustre photographié, une femelle de Harle bièvre.

La Pie bavarde est un oiseau au plumage blanc et noir. Pourtant, selon l’éclairage, on peut voir des reflets bleus et vert pétrole.

La Grive draine est plutôt bien camouflée avec son plumage tacheté.

Ce Merle noir pas vraiment noir pourrait être un jeune de l’an dernier, dit de 1er hiver.

Quand il n’y a pas beaucoup d’oiseaux à se mettre sous l’objectif, il reste toujours des mésanges, comme la Mésange charbonnière, …

… la Mésange bleue …

… ou la Mésange à longue queue – qui n’est pas vraiment une mésange et que l’on a donc renommée Orite.

Les Geais des chênes sont également présents, quel que soit le temps, mais ils sont très farouches et s’envolent en criant à la moindre approche.

Lors des journées chaudes, les Ecureuils roux sortent de leur léthargie hivernale pour aller se nourrir en recherchant les provisions qu’ils ont enfoui au sol à l’automne.

Et enfin, voici le spectacle attristant d’une Corneille noire que j’ai suivi quelques instants. Elle fouillait le sol puis a trouvé un débris de plastique où des restes alimentaires étaient encore collés. Elle a tenté de racler le plastique avec le côté du bec puis a abandonné, heureusement sans ingurgiter ce débris.