Le Milan royal, migrateur tardif en automne, passe tranquillement dans le ciel, dès que la pluie cède la place à un ciel dégagé.

Correction du 1er nov : Ce rapace est une Buse variable, que j’ai pris pour une Bondrée par l’absence de barre alaire claire et l’absence de zone claire sur la poitrine. La Bondrée apivore voyage seule aussi. Les effectifs sont plus réduits que ceux du Milan royal, ce qui peut aussi expliquer cet isolement.

L’Autour des palombes vole toujours seul, que ce soit au printemps ou à l’automne.

Changement d’horizon, on est maintenant au sol avec un oiseau absolument pas sauvage, le Faisan de colchide. Ces oiseaux sont des lâchers de chasse, pas effrayés par une présence humaine, à peine émus par la présence d’un chien.



Un petit tour par la source et les fourrés environnants.
En premier, une Mésange bleue au bain …

… suivie de Pouillots véloces.







Un Troglodyte mignon est venu m’observer. Je me suis vraiment senti comme une bête curieuse face à son manège.



Quelques Chardonnerets élégants explorent ce qui reste dans un potager, dont des tournesols flétris.



Un Pic épeiche prospecte les plus hautes branches d’un arbre.

Si vous trouvez que ce mâle de Sarcelle d’hiver est atypique, c’est normal : il est en pleine transition de plumage. On commence à peine à voir les motifs vert et brun sur sa joue.

Les premiers Fuligules morillons sont de retour sur le plan d’eau où ils se rassemblent en hiver. Il y a deux mâles reconnaissables à leur houppette sur la nuque et quelques femelles.

Ces grandes éclaboussures sont le fait d’un Grand cormoran qui s’ébroue.

Un Martin pêcheur n’est jamais bien loin quand je vais à ce plan d’eau, à la réserve du delta de la Dranse.

Un des derniers Vulcains, papillon dont certains individus vont hiberner et d’autres sont migrateurs.

















































































































































