Podur débuter cette série, voici un Epervier d’Europe mâle. Normalement, le haut de la poitrine devrait être coloré de rouille, comme les joues. C’est donc un individu atypique, m’a t’on dit.
Atypique aussi ce Rougequeue noir, puisque la grande majorité de ses congénères sont partis passer l’hiver au soleil
Encore un petit solitaire, un Roitelet huppé.
Solitaire aussi, cette Mésange bleue.
Les Mésanges à longue queue sont toujours en bande mais il est difficile d’en photographier plusieurs d’un coup.
Les Grosbecs casse-noyaux se déplacent en petits groupes de 4-5 oiseaux mais ils sont difficiles à voir. Alors je me contente de photos individuelles.
Il en va de même chez les grives, ici la Grive draine. On voit les groupes quand les oiseaux fuient…
Les Corneilles noires forment à cette saison des groupes assez lâches, les rassemblements étant surtout dûs à la présence de nourriture. Les oiseaux dispersés s’appellent bruyamment d’un perchoir à l’autre.
Ces derniers jours il y a eu de nombreux groupes de Pigeons ramiers. Migrateurs ou résidents ?
Les Pinsons des arbres sont là en nombre, certains groupes composés de plus d’une cinquantaine d’oiseaux. Quand ils sont au sol à la recherche de nourriture, ils sont presque impossibles à distinguer malgré un plumage tout de même assez coloré.
Les Pinsons du Nord sont aussi présents en grandes bandes. Prenant l’envol à la moindre alerte, ils sont très mobiles et leur ventre blanc est assez joli à voir quand ils passent d’un arbre à l’autre.
Voilà une Buse variable qui semble installée pour l’hiver. Je l’ai vue à plusieurs reprises dans le même coin. En réalité, il est impossible d’affirmer qu’il s’agit de la même, je n’ai vu aucun signe distinctif, c’est tout bonnement une hypothèse.
Surprise ! je suis tombé par hasard sur ce Pic mar, oiseau que je n’avais jamais repéré sur Lugrin. J’espère bien le voir à nouveau ces prochains jours.
Le Pic mar au-dessus s’est séparé d’un petit groupe de Pics épeiche, ci-dessous, qui prospectait les arbres d’une haie. Le dernier oiseau est voisin d’un Pic vert, je n’ai pu obtenir de cliché des deux nets.
Le Pic vert se nourrit aussi bien en cherchant des insectes au sol que dans les troncs d’arbres. En été, c’est un grand consommateur de fourmis.
Pas d’observations au piège photographique. Un nouvel emplacement que j’ai testé ne m’a procuré que les portraits de tous les chats du quartier… Prochaines prises après Noël, peut-être un ou l’autre renne.






































































































