Le placement du piège photographique commence à payer. Voici quelques tronches de sangliers…
… suivies de portraits de renards …
… et une photo qui m’intrigue : on dirait une bestiole qui transporte une proie. Mais quelle bestiole et quelle proie ? J’ai aussi pensé à un animal qui porte un petit mais on est en hiver… Donc pour l’instant, mystère.
Ajout au 31.01 : c’est peut-être simplement un renard vu de l’arrière et non un animal vu de l’avant. La queue est un peu coudée et les pattes avant sont au-dessus de l’écriture. Ca reste une interprétation.
Le piège photo manque de vitesse de prise de vue et si l’animal est un peu hors champ, l’éclairage des leds infrarouge est trop faible pour donner du relief.
La photo de jour permet de montrer les techniques d’envol du cormoran, qui pousse avec ses deux pattes simultanément, les Harles bièvres, qui courent comme des sprinters, ou le Héron cendré qui se contente d’une grande détente de ses longues pattes.
Avec le reflet pour thème, voici un pouillot (probablement véloce), un Cygne tuberculé, un Grèbe huppé qui dort sur le reflet des Rochers de Naye et un autre Grèbe huppé, bien éveillé.
Sur le thème des alignements, quelques Grands cormorans et quelques Mouettes rieuses dont l’une commence à acquérir son plumage nuptial.
Au chapitre des oiseaux d’eau, trois clichés de Fuligule morillon, à l’oeil jaune, un Fuligule milouin mâle, à l’oeil rouge, la femelle puis le mâle du Canard chipeau, mâle et femelle du Canard souchet avec leur bec en spatule, le minuscule Grèbe castagneux et enfin la Gallinule poule d’eau avec son bec rouge et jaune.
Le mâle de la Sarcelle d’hiver est très difficile à photographier correctement, son plumage un peu chiné ou strié rend la mise au point délicate.
Le Grand cormoran est plus aisé à photographier, déjà par sa taille mais aussi parce qu’il est souvent immobile sur un perchoir. Le Martin pêcheur, bien qu’éloigné, a été trahi par ses couleurs.
Il y a quelques jours j’avais photographié un goeland qui se grattait en vol. Se gratter sans se déséquilibrer dans l’eau est aussi un exploit, que réussissent très bien les grèbes huppés
Un Bouvreuil pivoine mâle semble avoir élu domicile dans un buisson, où je l’ai entendu puis vu à deux reprises.
Les Mésanges à longue queue sont très actives, toujours en bandes de cinq individus au moins.
Et pour finir la semaine, une Sittelle torchepot, un Geai des chênes et un mâle de Pic épeiche.




























































































































































